Sur la terrasse divisée du restaurant, des militants se sont collés pour reproduire et montrer le manque d’espace imposé à ces animaux qui ont été élevés sans jamais voir le jour pour l’industrie agroalimentaire. 🔴 [Mobilisation en cours] @L214 bénévoles “serrés comme des poulets” dans un Burger King à Paris pour rendre la vie… — Brigitte Gothière (@BGothiere)
Voir le tweet « Les poulets utilisés par Burger King vivent en permanence dans une sorte de métro bondé. L214 reproduit aujourd’hui cette intense débauche dans un restaurant du zodiaque », déplore Brigitte Gothière.

“La réalité est que les poulets traversent leur visage…”

Sur leurs réseaux sociaux, des militants dénoncent le “blabla” de Burger King et le label “Nature d’éleveurs”, dont est issue la viande vendue par le célèbre fast-food. “Aujourd’hui, 100% de nos pinceaux sont issus de la filière réservée Nature d’Éleveurs : des poulets nés, élevés, préparés en France, nourris aux céréales complètes 100% françaises”, se vante Burger King sur son site internet. « La réalité, ce sont les poules entassées à 20/m2, marre de leur croissance extrêmement rapide enfreignant leurs mesures… », rétorque Brigitte Gothière sur son compte Twitter. Des militants, soucieux de défier la chaîne de restauration rapide avant tout, ont lancé une pétition pour obliger Burger King à “prendre position contre la cruauté envers les poulets”. 🔴 👇 Suivra la discussion de @BurgerKingFR et du label “Nature d’éleveurs”. La réalité c’est les poulets… — Brigitte Gothière (@BGothiere)
Voir le tweet Ils appellent notamment la chaîne à accepter les critères beaucoup plus restrictifs de l’European Chicken Pledge, un accord signé notamment par les chaînes KFC et Subway. Voir aussi sur Le HuffPost : Vous ne pouvez pas voir ce contenu car vous avez refusé les cookies liés au contenu de tiers. Si vous souhaitez voir ce contenu, vous pouvez modifier vos préférences.