Les enquêteurs privilégient un divorce, selon une source proche du dossier, qui a précisé que l’adolescente était portée disparue depuis mercredi après-midi. Selon le recteur de l’académie de Dijon et ancien préfet de la Charente Pierre N’Gahane, la jeune fille était en classe de quatrième au collège de Lugny, commune proche du village de Clessé, où elle avait fait toutes ses études primaires. C’était un enfant sans problème qui travaillait bien. “Ce qui s’est passé est totalement incompréhensible”, a-t-il déclaré à BFMTV, précisant qu’”aucun signalement de harcèlement” n’avait été enregistré dans le collège de l’adolescent. “C’était un enfant sans problème qui travaillait bien”, a-t-il ajouté. Interrogé sur des informations selon lesquelles il venait de vivre une séparation douloureuse, le recteur a affirmé que c’était “possible”, sans vouloir commenter davantage.

cellule psychologique

Dans un communiqué, Pierre N’Gahane a fait part de sa “profonde tristesse” et de son “intense émotion” après le décès tragique, présentant ses sincères condoléances à la famille et aux proches de la victime. Le recteur et secrétaire général des services de l’éducation nationale de Saône-et-Loire Mayalen Laxague s’est rendu ce matin au collège Victor Hugo de Lugny. Une unité psychologique a été créée pour les étudiants et les enseignants de l’établissement, a indiqué le recteur. A Clessé, village viticole de 800 habitants à une quinzaine de kilomètres au nord de Mâcon, l’école élémentaire que fréquentait l’adolescente a été fermée jeudi. Devant l’école, un bouquet de roses blanches et roses a été attaché à la hâte à une balustrade qui bordait le trottoir. Non loin de là, une tache de sang était encore visible, et quatre cercles jaunes avaient été dessinés au sol par des chercheurs sur la route menant à l’école. L’unité de recherche de la gendarmerie de Dijon a mis au point un dispositif important sur place tôt le matin. Le procureur de Mâcon Éric Jallet, qui s’y est rendu ce matin, donnera une conférence de presse à 18 heures. à Macon. Mise à jour à 14h15 L’ami d’une jeune fille de 13 ans qui a été retrouvé poignardé à mort près de Mâcon jeudi matin, a été placé en garde à vue, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Le corps de la jeune fille a été découvert vers 6 h 40 à Clessé (Saône-et-Loire), un couteau au cou. Elle a également de nombreuses traces de violence sur son corps. Ce qui s’est passé est totalement incompréhensible. Selon la police, le suspect est âgé de 14 ans. L’adolescent aurait disparu mercredi après-midi, selon la presse locale. Selon Pierre N’Gahanne, recteur de l’académie de Dijon et ancien préfet de la Charente, la jeune fille était quatrième au collège de Lugny, commune proche du village de Clessé, où elle avait fait toute l’école élémentaire.

Une séparation?

“Ce qui s’est passé est totalement incompréhensible”, a-t-il déclaré à BFMTV, précisant qu’”aucun signalement de harcèlement” n’avait été fait au collège de la victime. “C’était un enfant sans problème qui travaillait bien”, a-t-il insisté. Interrogé sur des informations selon lesquelles il venait de vivre une séparation douloureuse, le recteur a répondu que c’était “possible”. L’unité de recherche de la gendarmerie de Dijon a mis au point un important dispositif dans ce village viticole de 800 habitants à une quinzaine de kilomètres au nord de Mâcon. L’école a été fermée jeudi. Le procureur de Mâcon Éric Jallet, venu sur les lieux ce matin, donnera une conférence de presse à 18 heures au Mâcon. 13h45 Selon le Journal de Saône-et-Loire, la jeune victime a disparu mercredi après-midi. Son petit ami de 14 ans a été placé en garde à vue. Le procureur de Mâcon donnera une conférence de presse en fin d’après-midi. ————– Un adolescent a été retrouvé mort jeudi matin derrière l’école de Clessé (Saône-et-Loire), près de Mâcon, a-t-on appris de source proche de l’enquête. La jeune fille, qui aurait eu 13 ans, a probablement été poignardée au cou, selon les informations de BFMTV. Aucune arrestation n’a encore été effectuée. Le procureur de Mâcon Éric Jallet, venu sur les lieux, n’avait donné aucune indication sur l’affaire en milieu de journée. Une grande force de gendarmes a été développée. Une enquête a été ouverte. le volet criminel est privilégié. Les circonstances du décès ne sont pas connues pour le moment. Une cellule psychologique a été mise en place, à la disposition des étudiants et de la communauté éducative. Dans un communiqué, le recteur de l’académie de Dijon et ancien préfet de la Charente Pierre N’Gaane, a tenu à exprimer “son profond chagrin et sa profonde émotion après la mort tragique” de la jeune fille, rapporte la chaîne d’information. Plus d’informations suivront…