ENQUÊTE – Sous prétexte de défendre la planète, la nébuleuse poursuit ses frappes et a été au centre des violences dans les Deux-Sèvres. Multipliant le poing des entreprises pour tenter de faire l’irréparable, la fureur de l’écologie radicale semble désormais ne plus connaître de bornes. Ainsi, un jeune militant en visite au musée d’Orsay a été empêché jeudi dernier de jeter de la soupe sur un tableau de Paul Gauguin pour attirer l’attention du public sur “l’effondrement social” qui s’ensuivrait. Peu de temps auparavant, elle avait l’intention de coller son visage sur un autre chef-d’œuvre, a priori le célèbre tableau Autoportrait à Saint-Rémy de Vincent Van Gogh. Alors que, de Paris à New York, le monde de l’art crie au vandalisme, le musée a porté plainte pour “tentative de défiguration”. Inspiré par des attaques similaires, comme l’affichage de la soupe aux tomates sur la plaque de verre protégeant les Tournesols de Van Gogh à la National Gallery de Londres, l’action pourrait être attribuée au groupe Last Renovation. Apparu récemment dans la galaxie contestataire française, ce groupe a connu en…

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