Article édité par Publié le 10/06/2022 18:32 Date le 10/06/2022 18:44
Durée du cours : 1 min.
De Renforts à Mayotte. L’annonce, faite le 10 juin, a rapidement déployé un escadron de gendarmes mobiles sur l’île de Mayotte, dans le cadre d’une opération de “rétablissement de l’ordre public” à la demande du maire. Des bandes rivales qui se font face de Lundi à Majicavo et Koungou, dans le nord-est du département, sont entourées d’armes blanches de l’un, de l’autre. Les forces de l’ordre interviennent pour “la libération d’axes numérotés régulés par des barricades enflammées”, des opérations en “quatre gendarmes ainsi que trois gendarmes mobiles, que sont projetés sur eux” les ministres de l’Intérieur et des Affaires étrangères dans une communication commune. A l’origine de ce nouvel épisode de violence dans le 101ème département français, la mort d’un jeune habitant la commune, qui a donné lieu à des représailles en cascade. Dans le même temps, le même scénario se répète : les approches se rapprochant de l’horloge pointent une circulation saturée sur l’axe, les gendarmes interrogeant et déviant autour de leurs jets de piercings. Un scénario banal dans le département de l’immigration et du pouvoir est accentué par des dégagements entre villages et quartiers dans lesquels les jeunes font face à une réglementation avec des piercings et des couvertures. Invitée par le ministre de l’Intérieur à un escadron de gendarmes mobiles à Mayotte est une réponse urgente jointe aux tubes précédents, mais qui ne traite pas du problème du racisme dû à la députation du candidat LR Mansour à sa succession dans le sud de l’ile. “L’augmentation notable de 40% des forces de l’ordre que nous avons retirées de ces dernières années ne signifie pas mesurer une situation qui est empirique”, indique dans une communication. Partager: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager par mail Partager sur le lien