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19h43 Merci d’avoir regardé la couverture en direct de la conférence de presse du Dr. Luc Boileau. 19h41 La santé publique estime qu’environ 500 000 personnes sont à risque au Québec, soit parce qu’elles ne sont pas infectées, soit parce que leur calendrier de vaccination n’est pas à jour. Ça peut donner une sauce un peu épicée, précise-t-il, rappelant l’impact de la contamination sur la viabilité du système de santé. Or, l’isolement obligatoire de cinq jours en cas de symptômes de la COVID-19 n’est plus d’actualité, souligne le Dr Boileau. 19h33 Si les symptômes persistent au-delà de 10 jours, un masque est nécessaire, mais l’isolement peut prendre fin, explique le Dr Jean Longtin, qui fait appel au bon sens et à la responsabilité individuelle. 19h31 Le directeur national de la santé publique, le Dr. Luc Boileau, invoque l’obligation morale de s’isoler et de porter un masque pendant 10 jours, période de contagiosité. La recommandation couvre également la grippe, qui est moins contagieuse et moins durable. Avez-vous des symptômes? Vous portez un masque, vous n’allez pas voir les personnes vulnérables… vous protégez les autres. 19h31 Démarrez le widget Twitter. Omettre le widget ? Fin du widget Twitter. Revenir en haut du widget ? 19h26 Interrogé sur la possibilité de rendre la vaccination obligatoire, le Dr Boileau dit qu’on est ailleurs maintenant par rapport à l’an dernier. Il dit avoir recommandé au gouvernement d’autoriser les employés non vaccinés à retourner sur le lieu de travail. 19h23 À l’approche de la saison grippale, que le Dr Boileau place avant Noël, le directeur national de santé publique propose une nouvelle approche. Il recommande aux patients de s’isoler complètement pendant la durée de leurs symptômes, soit environ 10 jours. Il faut limiter les contacts avec les personnes les plus vulnérables, rappelle-t-il. La transmissibilité du nouveau variant BQ1.1 pourrait-elle représenter une nouvelle menace capable de contourner les protections immunitaires acquises ? On ne constate pas d’augmentation de la gravité, partage le Dr Jean Longtin, microbiologiste, à propos de la situation épidémiologique dans d’autres pays où ce variant est plus répandu. 19h16 La Santé publique du Québec propose une nouvelle approche de bon sens pour lutter contre la COVID-19 : éviter les activités quand on est malade, faire du télétravail quand c’est possible, limiter les contacts quand on a des symptômes, etc. 19h16 Le Dr Boileau exhorte les Québécois qui n’ont pas reçu de vaccin contre la COVID-19 depuis cinq à six mois à se faire vacciner à nouveau. Il indique que la majorité de la population est infectée depuis le début de l’année, mais que les personnes de plus de 60 ans, qui sont globalement moins infectées, sont donc plus vulnérables au coronavirus. 19h12 En trois semaines, la situation a évolué assez positivement, constate le Dr Boileau. Depuis la mi-octobre, il semble s’être amélioré, les hospitalisations ayant tendance à diminuer, dit-il, mais la santé publique constate une augmentation des cas chez les personnes de plus de 80 ans.

Voir plus d’articles Or, l’isolement obligatoire de cinq jours en cas de symptômes de la COVID-19 n’est plus d’actualité, souligne le Dr Boileau. Avez-vous des symptômes? Vous portez un masque, vous n’allez pas voir les personnes vulnérables… vous protégez les autres. Fin du widget Twitter. Revenir en haut du widget ? Il dit avoir recommandé au gouvernement d’autoriser les employés non vaccinés à retourner sur le lieu de travail. Il faut limiter les contacts avec les personnes les plus vulnérables, rappelle-t-il. La transmissibilité du nouveau variant BQ1.1 pourrait-elle représenter une nouvelle menace capable de contourner les protections immunitaires acquises ? On ne constate pas d’augmentation de la gravité, partage le Dr Jean Longtin, microbiologiste, à propos de la situation épidémiologique dans d’autres pays où ce variant est plus répandu. Il indique que la majorité de la population est infectée depuis le début de l’année, mais que les personnes de plus de 60 ans, qui sont globalement moins infectées, sont donc plus vulnérables au coronavirus.