Les pays industrialisés (États-Unis, Canada, France, Allemagne, Italie, Royaume-Uni et Japon) ont également rejeté les “fausses” accusations de Moscou selon lesquelles l’Ukraine prépare une “bombe sale”. L’enquête menée par l’agence onusienne AIEA “a confirmé que ces allégations n’étaient pas fondées”, soulignent-ils. Le G7 continuera d’imposer “des coûts financiers à la Russie et à d’autres pays, individus ou institutions qui apportent un soutien militaire à la guerre de Moscou (…) comme certains d’entre nous l’ont déjà fait concernant la livraison par l’Iran” de drones à la Russie, ont déclaré les ministres. À cet égard, ils ont réitéré leur appel aux autorités biélorusses, qui affirment ne pas vouloir être directement impliquées dans la guerre, pour qu’elles « arrêtent de permettre la guerre d’agression de la Russie », notamment en autorisant le stationnement de soldats russes sur son territoire. La Russie a servi de base arrière pour l’invasion de l’Ukraine fin février.