GRÈVE DE LA RAFFINERIE.  Les deux syndicats majoritaires de Total ont annoncé vendredi avoir signé l’accord avec la compagnie pétrolière.  La CGT, pour sa part, appelle à renégocier et à renouveler les grèves dans les quatre raffineries de Total.  Chez Esso, la grève n’a pas été reconduite à la raffinerie de Port-Jérôme.            

Sommaire

L’essentiel

L’accord conclu entre TotalEnergies et la CFDT et la CFE-CGC a été signé par les deux syndicats. Les organisations ont décidé avec leurs adhérents d’accepter les propositions de l’entreprise, à savoir une augmentation de salaire de 7% à partir du mois prochain, en plus de la prime allant de 3.000 à 6.000 euros. La CGT, le syndicat à la pointe de la grève de près de trois semaines dans les raffineries, a quitté la table des négociations sans accepter l’offre de Total et appelle désormais à une « renégociation ». La grève dans les raffineries se poursuit ce vendredi 14 octobre, la CGT a reconduit la grève dans les quatre raffineries Total et le dépôt de carburant de Flandre appartenant au même groupe. Au lieu de cela, la grève a été levée à 14 heures. sur le site Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme. Le tribunal administratif de Rouen a rejeté le référé de la CGT visant à empêcher les amendes des travailleurs d’Esso-ExxonMobil sur le site de Port-Jérôme-sur-Seine. La justice administrative juge ces contrôles « de nature nécessaire », ils sont donc autorisés. De son côté, le tribunal administratif de Lille a également rejeté le deuxième référé de la CGT concernant l’indemnisation des accidents du travail sur le site de TotalEnergies à Mardyck (Dunkerque, Nord). “Le préfet du Nord n’a pas porté atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève”, a estimé la justice en début de soirée vendredi. La CGT, FO, Solidaires et FSU ont appelé jeudi soir à une journée de grève interprofessionnelle. Le mardi 18 octobre était fixé.

Et immédiatement

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22h00 – Seule, la CGT peut-elle encore bloquer les raffineries ?

Après l’accord trouvé entre la CFDT et la CFE-CGC et TotalEnergies, la CGT peut-elle maintenir malgré tout le blocus de la raffinerie ? Quoi de plus, même s’ils sont minoritaires ? Dans les colonnes du Figaro, un ingénieur de l’industrie estime que “bloquer une raffinerie, ce n’est pas compliqué : il suffit de bloquer le quai de chargement où les camions-citernes font le plein”, ajoutant : “Et c’est pour ça qu’on le fait, du moment alors que les deux opérateurs de ce quai se mettent en grève pour empêcher le chargement.” Cependant, le journal explique que si deux grèves suffisent pour arrêter les livraisons, bloquer la production d’une raffinerie nécessite plus de bras. Cependant, les employés travaillent en équipe et chacun a sa propre spécialité. De plus, explique Le Figaro, si les transporteurs peuvent remplacer un absent en cas de maladie, il est plus difficile de trouver un volontaire lorsqu’il s’agit de remplacer un gréviste… Ce dont la machine prend vite le relais.

21h14 – Quand peut-on espérer un retour à la normale pour les automobilistes ?

Pour Matignon, le retour à la normale, en ce qui concerne la situation des automobilistes, est attendu “dans la semaine à venir”, a-t-on souligné vendredi soir, comme le rapporte notamment BFMTV. « Dans une sortie de crise, le président de la République l’a dit et redit : le retour à la normalité pour les automobilistes est attendu la semaine prochaine », a ainsi assuré Matignon, confirmant au passage les prédictions déjà évoquées par Emmanuel Macron. plus tôt dans la semaine. Quant au « temps nécessaire […] pour le fonctionnement d’une raffinerie bloquée », Matignon parle « d’une à deux semaines ».

20h32 – Pas de retour à la normale avant “deux à trois semaines” pour la production, selon Esso-ExxonMobil

Suite à des perturbations dans les deux raffineries Esso-ExxonMobil depuis fin septembre, le groupe pétrolier a indiqué vendredi soir dans un communiqué qu’il ne s’attendait pas à un retour à la normale de la production avant “deux à trois semaines”. “Les unités des deux raffineries d’Esso Refining seront progressivement redémarrées conformément aux protocoles de sécurité nécessaires et de manière à minimiser les perturbations”, indique le communiqué de presse d’Esso-ExxonMobil, établissant ensuite une première évaluation selon laquelle les volumes de ventes en septembre ont diminué. “de 25% par rapport au mois d’août”.

19h51 – Décret exécutif : le deuxième référé déposé par la CGT à son tour rejeté par la justice

Deuxième revers pour la CGT. Après le premier rejet, vendredi matin, de son recours contestant les chèques des salariés du site Esso-ExxonMobil de Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime), le tribunal administratif de Lille semble avoir emboîté le pas de Rouen, déboutant le second mémoire déposé par la CGT pour s’opposer aux contrôles à l’intérieur de l’entrepôt TotalEnergies de Mardyck à Dunkerque (Nord). “En créant un service visant à assurer, à partir d’un nombre limité mais compétent de travailleurs, l’envoi unique de carburant, le préfet du Nord n’a pas causé d’atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève”, a confirmé la justice.

19h15 – Blocages levés : les tensions persistent

Ce vendredi, en milieu de journée, Agnès Pannier-Runacher a annoncé une légère amélioration du nombre de stations-service en difficulté. Ainsi, à 13 heures, 28,5 % des stations-service étaient à l’échelle nationale, contre 29,2 % hier soir. Cependant, il existe des différences importantes entre les régions. Dans les Hauts-de-France, 25,3 % des stations-service sont concernées, contre 31,7 % hier. C’est le cas de 37% en Île-de-France, contre 38,8% hier. De fortes tensions sont encore observées en Centre-Val de Loire, où le nombre de gares en difficulté a augmenté (42,2 % aujourd’hui, contre 41,2 % hier). Ce vendredi matin, le ministre de la Transition énergétique a indiqué à LCI que le retour à la normale ne sera pas immédiat. L’objectif du gouvernement “est de ramener la situation à la normale au plus vite”, selon le ministre. Aussi, pour accélérer la fin de la pénurie, le Gouvernement a débloqué, ce jeudi 13 octobre, des stocks de carburant supplémentaires. Le retour à la normale n’est donc pas prévu dans l’immédiat et il faudra encore s’armer de patience pour (enfin) retrouver du gaz.

18h45 – Déblocage : quelles zones seront alimentées ?

La CGT a annoncé, ce vendredi 14 octobre, que le mouvement de grève a été reconduit sur tous les sites de TotalEnergies en France. De leur côté, deux raffineries Esso-ExxonMobil ont levé la grève depuis hier : celle de Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône, jeudi, et celle de Port-Jérôme-Gravenchon, en Seine-Maritime. Ces versions permettront la livraison dans certaines régions.
En effet, depuis la raffinerie de Fos-sur-Mer, via l’oléoduc Méditerranée-Rhône, la région lyonnaise et la région PACA sont alimentées en carburant. Depuis la raffinerie de Port-Jérôme-Gravenchon, l’oléoduc Le Havre-Paris dessert l’Île-de-France, mais aussi les agglomérations de Caen, d’Orléans et de Tours. Ainsi, dans tous ces domaines, une amélioration pourrait être constatée au niveau des stations-service dans les prochains jours. Malgré l’annonce de la poursuite de la grève à la raffinerie TotalEnergies de Donges, en Loire-Atlantique, les grévistes se sont engagés à livrer “un peu” de carburant ce week-end. Par l’intermédiaire de la canalisation Donges-Melun-Metz, il alimente la région du Mans et l’est de la France. Cependant, dans ces domaines, il y a peu de chance de voir une amélioration rapide.

18h28 – Les tensions vont encore durer quelques jours, rapporte Clément Bon

Ce vendredi, lors d’une visite au Plessis-Pâté, dans l’Essonne, aux Transports Prémat, premier transporteur de produits pétroliers d’Île-de-France, le porte-parole du ministre des Transports, Clément Beaune, a prévenu que les pénuries dureront encore quelques jours. journées. Par ailleurs, il a remercié les transporteurs pour leur “mobilisation exemplaire qui devrait se poursuivre dans les prochains jours”.

16h22 – Décision du tribunal administratif de Lille ce soir à 22h. sur les chèques

Le tribunal administratif de Lille, saisi en référé par la CGT, doit se prononcer ce soir vers 22 heures sur la légalité des chèques des grévistes de l’entrepôt TotalEnergies de Mardyck. Pour la CGT, ces contrôles vont à l’encontre de la constitutionnalité du droit de grève. Ce matin, la justice administrative de Rouen a rejeté le référé de la CGT visant à empêcher les contrôles des salariés d’Esso sur le site de Port-Jérôme-sur-Seine, estimant que ces contrôles avaient un “caractère nécessaire”.

16h05 – Distribution de carburant via le site de Donges (Total)

Les grévistes de la raffinerie Total de Donges, qui ont voté la reconduction de la grève cet après-midi, se sont néanmoins engagés à livrer “un peu” de carburant ce week-end. Les syndicats ont précisé que ces livraisons ne seraient pas effectuées par camions.

16h05 – La ministre Agnès Pannier-Runacher annonce des mesures

La ministre de la Transition énergétique a indiqué aux micros de plusieurs médias qu’elle et son collègue, Clément Beaune, le ministre des Transports, avaient reçu plusieurs “arrêtés qui permettent aux pétroliers de circuler ce week-end et…


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                GRÈVE DE LA RAFFINERIE.  Les deux syndicats majoritaires de Total ont annoncé vendredi avoir signé l’accord avec la compagnie pétrolière.  La CGT, pour sa part, appelle à renégocier et à renouveler les grèves dans les quatre raffineries de Total.  Chez Esso, la grève n’a pas été reconduite à la raffinerie de Port-Jérôme.            

Sommaire

L’essentiel

L’accord conclu entre TotalEnergies et la CFDT et la CFE-CGC a été signé par les deux syndicats. Les organisations ont décidé avec leurs adhérents d’accepter les propositions de l’entreprise, à savoir une augmentation de salaire de 7% à partir du mois prochain, en plus de la prime allant de 3.000 à 6.000 euros. La CGT, le syndicat à la pointe de la grève de près de trois semaines dans les raffineries, a quitté la table des négociations sans accepter l’offre de Total et appelle désormais à une « renégociation ». La grève dans les raffineries se poursuit ce vendredi 14 octobre, la CGT a reconduit la grève dans les quatre raffineries Total et le dépôt de carburant de Flandre appartenant au même groupe. Au lieu de cela, la grève a été levée à 14 heures. sur le site Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme. Le tribunal administratif de Rouen a rejeté le référé de la CGT visant à empêcher les amendes des travailleurs d’Esso-ExxonMobil sur le site de Port-Jérôme-sur-Seine. La justice administrative juge ces contrôles « de nature nécessaire », ils sont donc autorisés. De son côté, le tribunal administratif de Lille a également rejeté le deuxième référé de la CGT concernant l’indemnisation des accidents du travail sur le site de TotalEnergies à Mardyck (Dunkerque, Nord). “Le préfet du Nord n’a pas porté atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève”, a estimé la justice en début de soirée vendredi. La CGT, FO, Solidaires et FSU ont appelé jeudi soir à une journée de grève interprofessionnelle. Le mardi 18 octobre était fixé.

Et immédiatement

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22h00 – Seule, la CGT peut-elle encore bloquer les raffineries ?

Après l’accord trouvé entre la CFDT et la CFE-CGC et TotalEnergies, la CGT peut-elle maintenir malgré tout le blocus de la raffinerie ? Quoi de plus, même s’ils sont minoritaires ? Dans les colonnes du Figaro, un ingénieur de l’industrie estime que “bloquer une raffinerie, ce n’est pas compliqué : il suffit de bloquer le quai de chargement où les camions-citernes font le plein”, ajoutant : “Et c’est pour ça qu’on le fait, du moment alors que les deux opérateurs de ce quai se mettent en grève pour empêcher le chargement.” Cependant, le journal explique que si deux grèves suffisent pour arrêter les livraisons, bloquer la production d’une raffinerie nécessite plus de bras. Cependant, les employés travaillent en équipe et chacun a sa propre spécialité. De plus, explique Le Figaro, si les transporteurs peuvent remplacer un absent en cas de maladie, il est plus difficile de trouver un volontaire lorsqu’il s’agit de remplacer un gréviste… Ce dont la machine prend vite le relais.

21h14 – Quand peut-on espérer un retour à la normale pour les automobilistes ?

Pour Matignon, le retour à la normale, en ce qui concerne la situation des automobilistes, est attendu “dans la semaine à venir”, a-t-on souligné vendredi soir, comme le rapporte notamment BFMTV. “Sortie de la crise, le président de la République l’a dit et redit : le retour à la normalité pour les automobilistes est attendu la semaine prochaine”, a ainsi assuré Matignon, confirmant au passage les prévisions déjà évoquées par Emmanuel Macron. plus tôt dans la semaine. Quant au « temps nécessaire […] pour le fonctionnement d’une raffinerie bloquée », Matignon parle « d’une à deux semaines ».

20h32 – Pas de retour à la normale avant “deux à trois semaines” pour la production, selon Esso-ExxonMobil

Suite à des perturbations dans les deux raffineries Esso-ExxonMobil depuis fin septembre, le groupe pétrolier a indiqué vendredi soir dans un communiqué qu’il ne s’attendait pas à un retour à la normale de la production avant “deux à trois semaines”. “Les unités des deux raffineries d’Esso Refining seront progressivement redémarrées conformément aux protocoles de sécurité nécessaires et de manière à minimiser les perturbations”, indique le communiqué de presse d’Esso-ExxonMobil, établissant ensuite une première évaluation selon laquelle les volumes de ventes en septembre ont diminué. “de 25% par rapport au mois d’août”.

19h51 – Décret exécutif : le deuxième référé déposé par la CGT à son tour rejeté par la justice

Deuxième revers pour la CGT. Après le premier rejet, vendredi matin, de son recours contestant les chèques des salariés du site Esso-ExxonMobil de Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime), le tribunal administratif de Lille semble avoir emboîté le pas de Rouen, déboutant le second mémoire déposé par la CGT pour s’opposer aux contrôles à l’intérieur de l’entrepôt TotalEnergies de Mardyck à Dunkerque (Nord). “En créant un service visant à assurer, à partir d’un nombre limité mais compétent de travailleurs, l’envoi unique de carburant, le préfet du Nord n’a pas causé d’atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève”, a confirmé la justice.

19h15 – Blocages levés : les tensions persistent

Ce vendredi, en milieu de journée, Agnès Pannier-Runacher a annoncé une légère amélioration du nombre de stations-service en difficulté. Ainsi, à 13 heures, 28,5 % des stations-service étaient à l’échelle nationale, contre 29,2 % hier soir. Cependant, il existe des différences importantes entre les régions. Dans les Hauts-de-France, 25,3 % des stations-service sont concernées, contre 31,7 % hier. C’est le cas de 37% en Île-de-France, contre 38,8% hier. De fortes tensions sont encore observées en Centre-Val de Loire, où le nombre de gares en difficulté a augmenté (42,2 % aujourd’hui, contre 41,2 % hier). Ce vendredi matin, le ministre de la Transition énergétique a indiqué à LCI que le retour à la normale ne sera pas immédiat. L’objectif du gouvernement “est de ramener la situation à la normale au plus vite”, selon le ministre. Aussi, pour accélérer la fin de la pénurie, le Gouvernement a débloqué, ce jeudi 13 octobre, des stocks de carburant supplémentaires. Le retour à la normale n’est donc pas prévu dans l’immédiat et il faudra encore s’armer de patience pour (enfin) retrouver du gaz.

18h45 – Déblocage : quelles zones seront alimentées ?

La CGT a annoncé, ce vendredi 14 octobre, que le mouvement de grève a été reconduit sur tous les sites de TotalEnergies en France. De leur côté, deux raffineries Esso-ExxonMobil ont levé la grève depuis hier : celle de Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône, jeudi, et celle de Port-Jérôme-Gravenchon, en Seine-Maritime. Ces versions permettront la livraison dans certaines régions.
En effet, depuis la raffinerie de Fos-sur-Mer, via l’oléoduc Méditerranée-Rhône, la région lyonnaise et la région PACA sont alimentées en carburant. Depuis la raffinerie de Port-Jérôme-Gravenchon, l’oléoduc Le Havre-Paris dessert l’Île-de-France, mais aussi les agglomérations de Caen, d’Orléans et de Tours. Ainsi, dans tous ces domaines, une amélioration pourrait être constatée au niveau des stations-service dans les prochains jours. Malgré l’annonce de la poursuite de la grève à la raffinerie TotalEnergies de Donges, en Loire-Atlantique, les grévistes se sont engagés à livrer “un peu” de carburant ce week-end. Par l’intermédiaire de la canalisation Donges-Melun-Metz, il alimente la région du Mans et l’est de la France. Cependant, dans ces domaines, il y a peu de chance de voir une amélioration rapide.

18h28 – Les tensions vont encore durer quelques jours, rapporte Clément Bon

Ce vendredi, lors d’une visite au Plessis-Pâté, dans l’Essonne, aux Transports Prémat, premier transporteur de produits pétroliers d’Île-de-France, le porte-parole du ministre des Transports, Clément Beaune, a prévenu que les pénuries dureront encore quelques jours. journées. Par ailleurs, il a remercié les transporteurs pour leur “mobilisation exemplaire qui devrait se poursuivre dans les prochains jours”.

16h22 – Décision du tribunal administratif de Lille ce soir à 22h. sur les chèques

Le tribunal administratif de Lille, saisi en référé par la CGT, doit se prononcer ce soir vers 22 heures sur la légalité des chèques des grévistes de l’entrepôt TotalEnergies de Mardyck. Pour la CGT, ces contrôles vont à l’encontre de la constitutionnalité du droit de grève. Ce matin, la justice administrative de Rouen a rejeté le référé de la CGT visant à empêcher les contrôles des salariés d’Esso sur le site de Port-Jérôme-sur-Seine, estimant que ces contrôles avaient un “caractère nécessaire”.

16h05 – Distribution de carburant via le site de Donges (Total)

Les grévistes de la raffinerie Total de Donges, qui ont voté la reconduction de la grève cet après-midi, se sont néanmoins engagés à livrer “un peu” de carburant ce week-end. Les syndicats ont précisé que ces livraisons ne seraient pas effectuées par camions.

16h05 – La ministre Agnès Pannier-Runacher annonce des mesures

La ministre de la Transition énergétique a indiqué aux micros de plusieurs médias qu’elle et son collègue, Clément Beaune, le ministre des Transports, avaient reçu plusieurs “arrêtés qui permettent aux pétroliers de circuler ce week-end et…